Le poste de pilotage

Rideau ! (Jusqu’à nouvel ordre…)

Toutes les bonnes choses ont une fin. Les mauvaises aussi d’ailleurs… C’est après deux (courtes) années d’existence que je mets un terme à ce blog. Non pas qu’y écrire ait eu le temps de me lasser (le rendement n’y étant franchement pas, je ne peux pas dire que ce blog ait drainé toute mon énergie) mais la recrudescence de spams me donne envie d’arrêter. Ce n’est pas là mon dernier mot, puisque mes lecteurs (ou tout du moins, ma seule lectrice, n’est-ce pas Angeline) pourra trouver mon nouveau blog, dans une autre dimension dont je communiquerai l’URL sous peu.

Sayonara bye bye, et à bientôt pour de nouvelles aventures.

Le projet Castlevania

Ceux qui ont la malchance de me connaître le savent : j’ai une grande passion. Une passion chronique, dirais-je même, puisqu’à chaque sortie d’un nouvel épisode de cette grande saga, mes hormones s’affolent. Il s’agit, sans suspens aucun (à la lecture du titre de l’article et à la vue de l’illustration ci-dessus…), de la vieille série de Konami : Akumajô Dracula, Castlevania comme on l’appelle chez nous.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, mon amour pour Castlevania s’est déclaré relativement tard. Je connaissais, bien sûr, la série avant le coup de foudre. Mais c’est en 2001 que tout a vraiment commencé dans mon cœur. La Game Boy Advance venait de sortir et il n’y avait pas énormément de choix, pour le line-up de lancement, en dehors de Circle of the Moon. Je l’ai acheté et ce fut une excellente surprise. Je n’imaginais pas encore, à l’époque, à quel point ce titre allait changer ma vie de gamer.

Depuis le 22 juin 2001, donc, date de sortie de la GBA dans l’hexagone, il ne s’est pas écoulé un seul jour sans que je parle de Castlevania, que j’écrive sur Castlevania, que je découvre, redécouvre, reredécouvre Castlevania, que j’écoute Castlevania… Ma came, quoi !

Au point que j’en ai fait l’œuvre d’une vie, un site amateur mal programmé et mal écrit mais qui était ma plus grande passion sur Internet. Un site qu’on ne nommera pas pour laisser les morts reposer en paix, puisqu’il a été assassiné par Free, sans que je puisse en récupérer une seule ligne. J’ai pourtant essayé, mais bon, tant pis.

Qu’à cela ne tienne ! À l’occasion de la sortie du plus grand jeu vidéo de toute l’histoire, j’ai décidé de me refaire tous les épisodes, un par un, et d’en faire un énorme dossier sur ce modeste blog. Chaque partie sera l’occasion d’un article. Il est pour l’instant difficile de dire si le projet aboutira, ni quand je pourrai écrire un point final à ce déluge d’HTML, mais j’espère en arriver au bout. Ce qui n’empêchera pas, je le jure, la mise à jour habituelle et régulière du blog. Bonne lecture !

Il me fallait un peu d’espace…

Ceux qui me connaissent le savent : ce blog n’est pas promis à une grande carrière. En général, que ce soit sous le titre très cliché qu’est thecockpit ou n’importe quel autre nom, les blogs que je propulse s’écrasent quelques semaines après. La faute à qui, à cause de quoi ? Et bien, le plus souvent, à cause d’un vrai manque de motivation et à des mises à jour espacées de six mois d’intervalle. Et pourtant, j’avais besoin d’un espace où écrire mon avis, pas forcément le plus intéressant à lire, sur la chose ludique, qui enflamme tant mes journées. Cet espace, je ne voulais pas que ce soit Facebook, et je l’espérais un peu plus personnalisé que le board du quartier.

Et voilà comment thecockpit « nouvelle génération » est né. Donc, même si je ne garantis en rien l’intérêt du présent blog, ni même la fréquence des mises à jour, je vous souhaite une bonne lecture. Et, au passage, j’espère que la date à laquelle je l’ai mis en ligne lui portera au moins chance.